Alimenter les habitants en eau potable est une exigence permanente qui a conduit, en 1906, à créer l’usine du Mont-Valérien. Évoluant au fur et à mesure des connaissances et de la réglementation, cette usine illustre, à elle seule, l’histoire des techniques du traitement de l’eau depuis plus d’un siècle.
En 1991, le Syndicat intercommunal pour le service de l’eau change d’appellation et devient le Syndicat des eaux de la presqu’île de Gennevilliers, le SEPG. Il passe un contrat d’affermage avec la Compagnie des eaux de la banlieue. Cette dernière, devenue Eau et Force en 1992, est chargée d’assurer le traitement de l’eau, sa distribution, sa facturation, sans oublier l’entretien des installations et du réseau.
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En novembre et décembre 1991, deux articles, publiés dans Nanterre-Info, racontaient l’histoire des fontaines du bourg de Nanterre aux XVIIe et XVIIIe siècles. Sur le plan de 1778, on dénombre 197 puits, rien que dans le bourg, mais leur eau est très calcaire et ce sont des fontaines publiques alimentées par des sources que la population réclame. Des travaux de fouilles et de drainage ont été effectués au pied du Mont-Valérien et les eaux ainsi découvertes vont pouvoir fournir deux fontaines. La première comportera un bassin de charge et sera située, sur une base triangulaire, place du Martray (place Gabriel Péri). Un aqueduc enterré mènera l’eau à la place de la Porte de Rueil (place du Maréchal Foch) où un lavoir doublé d’un abreuvoir à chevaux sera installé.
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