De la naissance de l’automobile à nos jours, les modes de commercialisation de l’essence ont évolué. D’abord vendue en bidons de cinq ou dix litres, l’essence a ensuite été distribuée à la pompe, puis dans des stations-service.
En 1886, il n’existe à Nanterre qu’un seul marchand d’huiles installé 5, route de Cherbourg (aujourd’hui avenue du Maréchal-Joffre).
Il vend des produits issus de la distillation des huiles minérales, c’est-à-dire du pétrole pour l’éclairage et, ce qui est nouveau, de l’essence pour automobiles. À cette même époque, la société Desmarais, qui détient une raffinerie à Colombes et à Nanterre, lance sur le marché L’Oriflamme, un pétrole de luxe pour l’éclairage, et l’Automobiline, de l’essence homogène pour automobiles, voiturettes et tricycles. Desmarais, comme les autres compagnies pétrolières françaises, vend ces produits en bidons de cinq litres.
En 1896, trois marchands commercialisent de l’huile au détail…
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Histoire d’une usine automobile à Nanterre: de Vinot-Deguingand à Citroën en passant par Donnet-Zedel et Simca.
Articles publiés précédemment dans le journal municipal Nanterre-Info
– L’industrie automobile à Nanterre (1)
– L’industrie automobile à Nanterre (2)
– L’industrie automobile à Nanterre (3)
– L’industrie automobile à Nanterre (4)
– Les établissements Willème (1)